On distingue :
- chapes traditionnelles
- chape de ravoirage
- chapes adhérentes
- chapes armées
- chapes flottantes
- chapes légèrement armées (fibre)
- chapes fluide-résine
- Chape traditionnelle :
Dans le contexte technique moderne, les « chapes minces » ou « chapes fluides » ou « chapes liquides » ou « chapes auto-lissantes » sont mises en œuvre par pompage. Leur épaisseur est en moyenne de 55 millimètres, le liant utilisé est l'anhydrite ou le ciment. Leur dosage en liant est très élevé et elles sont adjuvantes pour permettre leur mise en place, avec souvent des propriétés « auto-lissantes ».
- Chape de ravoirage :
- Chape de compression :
- Chape flottante :
- Chape de finition :
- Chape armée ou chape fibrée :
si vous mettez un treillis de carreleur dans la chape pas besoin de prendre du fibré surtout sur des ourdis béton, vue que l'endroit de la chape le plus mince est de 4 cm c’est pour cela que certain conseil le ciment fibré, ça permet que la chape ne fissure pas quand elle est peut épaisse, après c’est une question de budget, si vous avez la possibilité de faire la chape un peut plus épaisse (genre 5 cm mini) du béton normale suffira si vous resté à 4 cm le fibré sécurisera ça mais sera plus chère.
- Joints de fractionnement chape :
- Chape fluide-résine :
On distingue quatre applications principales :
- Pose adhérente : la chape est coulée directement sur un support en béton
- Pose désolidarisée : la chape est coulée sur un film plastique, qui fait office de couche de glissement entre le support et la chape
- Pose flottante : la chape est mise en place sur un isolant thermique et/ou acoustique
- Pose sur plancher chauffant : la chape est coulée en enrobage de plancher chauffant
Les chapes fluides, aussi couramment appelées chapes liquides, sont des mortiers fluides autonivelants. Ils sont composés de sable, d’eau, de liant (ciment ou anhydrite), et d’un adjuvant qui leur confère une grande fluidité. Ils sont fabriqués dans des centrales à béton et sont livrés en camion-toupies. Les cadences de coulage sont très élevées (jusqu’à 200m²/h), la solution présente une faible pénibilité de travail. La mise en œuvre de toute les chapes fluides est régie par des Documents Techniques d’Application du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (lien site CSTB). Ainsi, par le biais d’une mise en place assurée par une entreprise agréée, le résultat final est garanti (excellente planéité, résistance et durabilité).
La pose du revêtement est exécutée une fois que la chape a atteint un taux d’humidité acceptable.
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